pendant le confinement, les oiseaux continuent...

Pendant, les confinement les oiseaux continuent à être bien présents. mais c'est nous qui ne le sommes pas!

Plus de sortie mensuelle en Brenne! Plus de second voyage au Costa Rica. Voyage que nous avions minutieusement préparé pour nous donner le maximum de chances de voir de nouveaux animaux, oiseaux en particulier. Pas annulé mais reporté d'un an, si tout va bien...

Plus de sortie dans la campagne pour observer "nos" oiseaux. Il ne nous reste plus qu'à attendre que ceux-ci veuillent bien nous rendre visite.

Evidemment, cela limite les espèces.

En effet, seuls les nicheurs de notre jardin y sont quasiment en permanence. De temps à autre, un aut individu d'une autre espèce nous rend visite. Comme par exemple le couple de gros-bec qui doit nicher à proximité et qui, habitué à la mangeoire, revient de temps en temps nous rendre visite.

La fauvette à tête noire est revenue depuis quelques temps. Le mâle aime bien se poster en haut d'un ceriser fleur, à plus de 5 mètres de hauteur,  pour chanter.

Le couple de mésange bleue a élu domicile dans un des nichoirs. Dans le vieux merisier.

Ils viennent souvent prospecter les abords de la maison. Ici, le bras d'un des bancs.

La mésange charbonnière, elle, a choisi le nichoir au nord du terrain. A l'orée du bois, sur un jeune chêne.

Le rouge-queue noir nous égaie de son chant monotone depuis quelques jours. Mâle et femelle se sont installés.

Photographié à la lumière du matin, le mâle nous révèle ses couleurs, pas si noires que cela.

Manquent encore à l'appel le rouge-queue à front blanc, la huppe et peut-être la tourterelle des bois.

Pies et pigeons ont aussi leurs nids dans nos chênes.

Le pinson s'est installé lui aussi dans les grands arbres du bois, près du jardin. Comme chaque année. Il chante souvent dans la végétation du jardin et vient paturer sur l'herbe, y compris devant la maison.